Après qu’une personne a subi une intervention au cœur, sa vie peut changer ou demeurer comme elle était avant la chirurgie. Tout dépend de l’attitude de la personne à l’égard de cet évènement qui semble impossible à maîtriser. Certains s’apitoient sur leur sort, tandis que d’autres se prennent en main pour profiter pleinement de la deuxième chance qui leur est accordée. De mon côté, je me réjouis d’avoir la chance de voir mes petits-enfants grandir et de passer du temps avec ma famille.
Dans mon cas, les facteurs de risque étaient élevés. En dépit d’un suivi étroit des médecins, mes antécédents familiaux m’indiquaient un chemin qui me mènerait tout droit à un problème cardiaque. De l’exercice et une meilleure alimentation auraient pu m’aider à prévenir ma maladie cardiaque, mais je n’ai pas changé mon mode de vie. Comme tout le monde, je suis humain et je pensais que ce genre de problème n’arrivait qu’aux autres.
Je profite maintenant de ma deuxième chance pour agir et continuer d’encourager toutes sortes d’initiatives de prévention des maladies cardiaques. Nous nous devons tous d’appuyer notre fondation, qui s’active à améliorer les services de dépistage et les soins de première ligne en faisant l’acquisition d’équipement pour notre hôpital. Il y va de la survie de nombreuses personnes
« Nous avons été extrêmement impressionnés par les soins que nous avons reçus à l’Hôpital régional Chaleur… à partir de notre premier rendez-vous prénatal jusqu’à notre départ de l’hôpital avec notre beau bébé. Tout au long de notre aventure, nous avons eu une confiance absolue dans les médecins, les infirmières et les résidents et nous savions qu’ils nous offraient d’excellents soins.
Les médecins ont découvert que notre fils avait des problèmes mineurs après sa naissance. Nous avons dû rester plus longtemps que prévu à l’hôpital et l’Unité des soins intensifs néonatals est devenue notre deuxième chez-nous pendant la première semaine de vie de Lennon. Nous avons reçu des soins de la part de gens qui aiment beaucoup leur travail et ça nous a fait chaud au cœur. »
J’ai été admis à l’Hôpital régional Chaleur le 13 août 2012 pour subir un remplacement du genou. Après l’intervention, j’ai dû utiliser une marchette pendant deux jours et une canne pendant deux semaines. Grâce à la qualité des soins que j’ai reçus et aux exercices que m’a recommandés le professionnel de la santé, je suis très heureux de dire que trois mois plus tard, j’ai recommencé à faire ce que j’aime plus que tout : marcher dans les broussailles en tant que géologue et prospecteur… au jeune âge de 70 ans, rien de moins! Mon expérience à l’Hôpital régional Chaleur a été très positive et je tiens à remercier sincèrement le personnel exceptionnel de son engagement pour assurer mon rétablissement.